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Le dernier des Mohicans, by Fenimore COOPER Editions G.P.Paris Bibliothèque Rouge et Or

Présentation de l’Editeur


CE roman, qui est considéré comme le chef-d’œuvre de Fenimore Cooper, retrace un des épisodes de la lutte franco-anglaise à la frontière du Canada, aux environs de l’année 1755 : la chute du fort William-Henry, enlevé par les troupes françaises du marquis de Montcalm.
Mais cet événement historique, que F.   Cooper avait entendu raconter souvent par des témoins dignes de foi, ne sert que de trame de fond à l’ouvrage. L’intention du grand romancier américain est de faire revivre, pour de jeunes lecteurs de huit à quatorze ans, l’activité des peuplades indiennes à cette époque, en soulignant impartialement leur qualités et leurs défauts. Il nous montre, dans une suite d’aventures passionnantes, comment leur incessante rivalité, aggravée par la guerre étrangère qui se déroulait sur leur sol, devait amener peu à peu leur déclin, et comment le jeune Uncas, dernier guerrier de l’antique race des Mohicans, mourut victime de sa loyauté et de son dévouement à ses amis de race blanche

G   F.   12 à 14

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FICHE TECHNIQUE DU LIVRE


Auteur :   Fenimore   COOPER
ADAPTATION DE JEAN SABRAN
Edition :   ÉDITIONS G.P., 80, RUE SAINT-LAZARE, PARIS

BIBLIOTHEQUE
ROUGE ET OR

Bibliothèque rouge et or   numéro : 26

ILLUSTRATIONS DE PIERRE LEROY
Couleurs pleine page hors-texte nnotées et,
noir & blanc in texte.

Ils se trouvèrent sou une voûte de grands arbres (p.10)
Il s’enfonça en trois bonds dans l’épaisseur de la forêt p.21)
&#171 Nous sommes au pied du Glenn &#187, annonça Oeil-de-Faucon (p. 25)
Ils n’étaient plus qu’à deux pas du précipice (p. 38)
L’Indien lâcha lentement le major et tomba sans vie (p. 59)
On apercevait les fortifications de William-Henry (p. 74)
Le vétéran et son compagnon sortirent de la forteresse (p. 84)
Il visa un Huron qui le mettait en joue et tira (p. 106)
&#171 Les Hurons n’ont-ils donc pas d’oreilles?… &#187 (p. 125)
L’Indien regarda Alice et Heyward d’un air menaçant (p. 136)
Il épaula rapidement le fusil sans paraître viser (p. 157)
Les spectateurs du premier rang reculèrent en silence (p. 163)
Chingachgook se tenait debout devant lui sans armes (p. 182)

Il a été achevé imprimer
pour les ÉDITIONS G. P., à Paris
en Juillet 1949
sur les presses de
 » La Photolith  »
Photogravure S. T. O.

C. O. L. 11.0282     Papier « Offset B » des Papeteries de Condat   Dépôt légal n° 225

Il a été achevé imprimer
pour les ÉDITIONS G. P., à Paris
en Octobre 1959
sur les presses de
G. Maillet et Cie
à Saint-Ouen

C. O. L. 11.0282     Dépôt légal n° 225

© COPYRIGHT 1949 BY EDITIONS G. P. PARIS

Printed in France

Reliure :   Pelline ivoire, dos orné, plat décoré au balancier.
Jaquette à double volets avec texte.

Livre épuisé chez l’ Editeur

EXTRAIT   Le dernier des Mohicans, by Fenimore COOPER page 83


Le dernier des mohicans, by Fenimore COOPER -image-50-150

  Duncan rendit compte de sa démarche avec beaucoup d’embarras : le général français avait su éluder toutes ses tentatives d’éclaircissement, lui laissant entendre qu’il préférait se rencontrer avec le commandant de William-Henry en personne pour lui fournir toutes les explications désirables.
  – Vous m’en avez dit assez! s’écria le vieilard humilié. Voilà un monsieur qui m’invite à une conférence, et quand je me fais remplacer par un substitut très capable, il refuse de parlementer et me laisse tout à deviner!
  – Mais l’invitation qu’il vous a faite et qu’il m’a chargé de vous réitérer s’adresse au commandan en chef du fort et non à l’officier qui commande en second.
  – Sur ma foi, Duncan, j’ai bien envie de m’y rendre, ne fût-ce que pour lui montrer une contenance ferme, en dépit de sa nombreuse armée et de ses sommations.
  – Sans aucun doute, dit Heyward, votre air d’indifférence et de tranquillité le fera réfléchir.
  – Je verrai donc le Français; je le verrai sans crainte, et tout de suite, comme il convient à un fidèle serviteur du Roi! Allez, major Heyward! faites-leur entendre notre fanfare, et envoyez un trompette pour informer le marquis que je vais me rendre à l’endroit indiqué.
  Dès que leur escorte fut prête, le vétéran et son jeune compagnon sortirent de la forteresse, précédés d’un officier porteur du drapeau blanc
  Montcalm s’avança vers la troupe ennemie avec une démarche pleine de grâce et salua le vieux colonel en ôtant son chapeau, dont le panache balaya le sol.
  – J’ai désiré avoir cette entrevenue avec le commandant de Fort-William, commença-t-il, pour le convaincre qu’il a déjà fait tout ce qu’on peut exiger de lui pour soutenir l’honneur de son souverain, et le supplier maintenant de nous rendre la place par mesure d’humanité. Je rendrai un témoignage éternel qu’il a fait la plus honorable résistance et qu’il l’a continué aussi longtemps qu’il a eu la moindre espérance de la voir couronnée par le succès.
  – Quelque prix que j’attache au témoignage de Monsieur de Montcalm, répondit gravement Munroe, il sera encore plus honorable quand je l’aurai mieux mérité.
  Le général français sourit.
  – Ce qu’on accorde volontiers à la valeur qu’on estime peut se refuser à une obstination inutile. Monsieur veut-il voir mon camp, compter lui-même les soldats qu’il renferme, et se convaincre par là de l’impossibilité de résister plus longtemps?
  – Je sais que le Roi de France est bien servi, répondit l’Écossais imperturbable; mais le Roi mon maître a des troupes aussi braves, aussi fidèles et aussi nombreuses.
  – Qui malheureusement ne sont pas ici! s’écria Montcalm emporté par son ardeur. Il y a dans la guerre une destinée à laquelle un homme brave doit se soumettre avec le même courage qu’il fait face à l’ennemi. Ces montagnes nous offrent assez d’observatoires pour reconnaître l’état actuel de vos fortifications, et je puis vous assurer que je connais leur faiblesse aussi bien que vous la connassez vous-même.
  – Si la portée de votre longue-vue peut s’étendre jusqu’à
l’Hudson, y avez-vous vu les préparatifs de marche de Webb?
  – Que le général Webb réponde lui-même à cette question, répondit le rusé marquis en tendant à Munroe une lettre ouverte. Vous verrez dans ce message, Monsieur, qu’il n’est pas probable que le mouvement de ses troupes soient inquiétants pour mon armée.
  Le vétéran saisit la lettre. Mais à peine l’eut-il parcourue qu’il changea de visage : ses lèvres tremblèrent, le papier lui échappa des mains, sa tête se pencha sur sa poitrine.
  Duncan ramassa la lettre et, d’un coup d’oeil, s’assura de la cruelle nouvelle qu’elle contenait.Leur chef commun, le général Webb, bien loin de les exhorter à tenir bon, leur conseillait, dans les termes les plus clairs et les plus précis, de se rendre sur-le-champ, en alléguant pour raison qu’il ne pouvait plus envoyer un seul homme à leur secours.
 

Reproduction interdite
 

PRODUCT DETAILS
Publisher ÉDITIONS G. P., 80, RUE SAINT-LAZARRE, PARIS (9è)   vingt-sixiième de la   BIBLIOTHÈQUE ROUGE & OR
Numéro de Référence Néant
Dépôt Légal Dépôt légal n° 225.
Language Français
Paperback 188 pages
Table des Matières Oui
ISBN-10 Non
EAN Code Barre Non
Item Weight 395 g
Dimensions 150 x 210 x 17 mm
Fenimore COOPER

https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Fenimore_Cooper

James Fenimore Cooper, né le 15 septembre 1789 à Burlington (New Jersey) et mort le 14 septembre 1851 à Cooperstown (État de New York), est un écrivain américain. Il est surtout connu pour son roman Le Dernier des Mohicans. LIRE LA SUITE

Le dernier des Mohicans

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Dernier_des_Mohicans

Le Dernier des Mohicans (The Last of the Mohicans) est un roman historique américain de James Fenimore Cooper, publié pour la première fois en janvier 1826, notamment par un éditeur apprécié et diffusé à l'époque, nommé Carey & Lea[3]. Deuxième[4] des cinq ouvrages composant le cycle des Histoires de Bas-de-Cuir (Leatherstocking), il se situe entre Le Tueur de daims (The Deerslayer) et Le Lac Ontario (The Pathfinder). LIRE LA SUITE

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