Alice et le vase de Chine, by Caroline QUINE Hachette Bibliothèque verte N° 309 Dépôt légal 1966

FICHE TECHNIQUE DU LIVRE

Edition :   HACHETTE     NUMÉRO DE RÉFÉRENCE : 309

BIBLIOTHÈQUE VERTE    

TEXTE FRANÇAIS D’ ANNE JOBA

ILLUSTRATIONS D’ALBERT CHAZELLE
Couleurs pleine page hors-texte annotées et,
noir & blanc in texte.

« Monsieur Tsui! » appela-t-elle. &nbsp page 64.
« Oh! Oh! Oh! c’est affreux! J’ai vu une main émerger de la cheminée! »
« Le télèphone le plus proche est à trois kilomètres d’ici »
« Monsieur Tsui est-t-il là? » demanda Alice.

L’ÉDITION ORIGINALE DE CE ROMAN
A PARU
EN LANGUE ANGLAISE
CHEZ GROSSET & DUNLAP,NEW YORK,
SOUS LE TITRE :

THE CLUE OF THE LEANING CHIMNEY

Imprimé en France
BRODARD & TAUPIN
Imprimeur – relieur
20 – 01 – 2828 – 01
20 – 03 – 2829 – 01

© Librairie Hachette, 1966.

Tous droits de traduction, de reproduction
et d’adaptation réservés pour tous pays.

Reliure :   Cartonnée illustrée couleurs in recto.
Imprimé en France
par Lienhart & Cie – Clamart
BRODARD ET TAUPIN RELIURE

Livre épuisé chez l’Editeur

EXTRAIT   Alice et le vase de Chine, by Caroline QUINE   page 64

  Après s’être entretenue avec M. Stevenson, le commissaire, Alice alla voir Dick Milltop et lui parla de la cheminée penchée. Le jeune homme fut très décu. En ce qui concernait le kaolin, Alice avait abouti à une impasse. Après avoir quitté Dick, Alice se hâta vers l’étude de son père, car elle avait promis de le retrouver à six heures.
  Par chance, une autombile s’éloignait juste à ce moment, lui laissant une place pour se garer. Comme elle posait le pied sur le trottoir, elle vit un petit Chinois distingué, à lunettes et bouc au mention, qui sortait de l’immeuble.
  « Monsieur Tsui! » appela-t-elle.
  Le Chinois s’arrêta et la salua.
  « Vous êtes la personne que je souhaitais le plus voir! dit Alice. Pourriez-vous m’accorder une minute? »
  M. Tsui inclina la tête en signe d’assentiment. Il était très élégant avec son chapeau de feutre gris, son costume bleu à fines rayures et sa canne en jonc. Alice ouvrit la portière, monta et pria le
vieux Chinois de prendre pace à côté d’elle.
  « Voulez-vous que je vous reconduise chez vous?
  – Ce serait très gentil de votre part. Je pourrai ainsi être à l’heure à mon rendez-vous. »
  En chemin, elle narra ses récentes aventures à son passager. Elle lui montra la feuille de journal qui enveloppait les débris du vase. Elle lui montra également les caractères qu’elle avait copiés. M. Tsui les examina avec une visible stupéfaction.
  « J’espère que vous les comprenez mieux que moi? dit Alice.
  – Oh! oui », répondit-il.
 

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