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  • En  famille : Tome II by Hector MALOT Collection FLAMMARION

    En famille : Tome II by Hector MALOT Collection FLAMMARION

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    Néant

  • Lettres de mon moulin, by Alphonse DAUDET Flammarion Dépôt légal  1943

    Lettres de mon moulin, by Alphonse DAUDET Flammarion Dépôt légal 1943

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    Présentation de l’Editeur


    Les premières « Lettres de mon moulin » ont paru, vers 1866, dans un journal parisien où ces chroniques provençales, signées tout d’abord d’un double pseudonyme emprunté à Balzac : « Marie et Gaston » (Gaston désignait Paul Arène), étonnèrent délicieusement. Ensuite Alphonse Daudet resta seul à « moudre des petites histoires » qui devaient, en 1869, être recueillies pour constituer un volume.
      L’ouvrage se vendit alors « péniblement », selon le terme employé par l’auteur, qui n’en proclamait pas moins : « C’est encore là mon livre préféré non pas du point de vue littéraire mais parce qu’il me rappelle les plus belles heures de ma jeunesse, rires fous, ivresses sans remords, des visages et des aspects amis que je ne reverrai plus jamais. »
      Ces contes sont aujourd’hui célèbres à travers le monde et suscident chez nous un intérêt charmé qui se renouvelle à charge génération. Impossible d’analyser brièvement un tel livre. Il nous suffira d’en rappeler quelques fragments qui lui valurent de passer à la postérité. « La chèvre de M. Seguin », qui aimait trop la liberté et devait se livrer ainsi au loup, petit apologue d’une signification toujours actuelle; « L’Arlésienne », qui devait devenir par la suite un grand drame et inspirer le compositeur Bizet; « La mule du Pape » et le coup de pied qu’elle garda sept ans pour se venger d’un vil petit intrigant, Tistet Védène; « Le curé de Cucugnan » et son joli prêche, et l’heureux résultat qui s’ensuivit; « Le sous-préfet aux champs » devenu symbole de l’alliance entre l’administration et la poésie; « Les trois messes basses » ou comment le chapelain de Trinquelage pécha par gourmandise un soir de Noël.
      L’oeuvre entière est égale à ces morceaux désormais classiques. Il en émane un parfum de terroir provençal qui ne s’évanouira jamais, du moins tant que durera la littérature.

  • Lettres de mon moulin, by Alphonse DAUDET Flammarion Dépôt légal  1949

    Lettres de mon moulin, by Alphonse DAUDET Flammarion Dépôt légal 1949

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    Présentation de l’Editeur


    Les premières « Lettres de mon moulin » ont paru, vers 1866, dans un journal parisien où ces chroniques provençales, signées tout d’abord d’un double pseudonyme emprunté à Balzac : « Marie et Gaston » (Gaston désignait Paul Arène), étonnèrent délicieusement. Ensuite Alphonse Daudet resta seul à « moudre des petites histoires » qui devaient, en 1869, être recueillies pour constituer un volume.
      L’ouvrage se vendit alors « péniblement », selon le terme employé par l’auteur, qui n’en proclamait pas moins : « C’est encore là mon livre préféré non pas du point de vue littéraire mais parce qu’il me rappelle les plus belles heures de ma jeunesse, rires fous, ivresses sans remords, des visages et des aspects amis que je ne reverrai plus jamais. »
      Ces contes sont aujourd’hui célèbres à travers le monde et suscident chez nous un intérêt charmé qui se renouvelle à charge génération. Impossible d’analyser brièvement un tel livre. Il nous suffira d’en rappeler quelques fragments qui lui valurent de passer à la postérité. « La chèvre de M. Seguin », qui aimait trop la liberté et devait se livrer ainsi au loup, petit apologue d’une signification toujours actuelle; « L’Arlésienne », qui devait devenir par la suite un grand drame et inspirer le compositeur Bizet; « La mule du Pape » et le coup de pied qu’elle garda sept ans pour se venger d’un vil petit intrigant, Tistet Védène; « Le curé de Cucugnan » et son joli prêche, et l’heureux résultat qui s’ensuivit; « Le sous-préfet aux champs » devenu symbole de l’alliance entre l’administration et la poésie; « Les trois messes basses » ou comment le chapelain de Trinquelage pécha par gourmandise un soir de Noël.
      L’oeuvre entière est égale à ces morceaux désormais classiques. Il en émane un parfum de terroir provençal qui ne s’évanouira jamais, du moins tant que durera la littérature.

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